Un français à Walt Disney World

Un Français à Walt Disney World

by American Way Of Life

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Nous avons eu la chance de rencontrer un jeune français, originaire de Marseille, qui a vécu l'expérience incroyable de travailler, durant un an et demi, en Floride, à Walt Disney World.

Il a accepté de nous accorder une interview, dans laquelle il nous explique son aventure. Elle servira, très certainement, à d'autres personnes qui souhaitent avoir une expérience similaire, de mieux préparer leurs voyages, et de savoir ce qu'un tel projet peut vous apporter sur le plan personnel et professionnel. A noter que son expérience date de 2006/2007 et que par conséquent certaines choses ont pu changer depuis. Nous vous laissons faire connaissance avec Michaël !

Présentation

Prénom : Michaël

Âge : 37 ans

Marié depuis 2013

Domicile actuel : Tokyo

Expérience WDW : 2006

Autres expériences à l'étranger:

- Grande-Bretagne

- Australie

- Japon

Comment t'est venue l'idée de postuler à Disney World ?

Ma passion pour Disney et plus généralement pour les États-Unis est née lors de ma première visite à Euro Disney avec mon père et ma sœur en 1993. Cinq jours formidables gravés dans mon coeur à vie ! J'avais alors 16 ans et chaque été on a remis ça avec mes parents et ma sœur. En 1998, je suis parti une semaine en Floride avec un ami et ses parents, également fous amoureux de Disney et des USA, les Fillacier. C'était mon premier gros voyage en-dehors des frontières qui s'apparentait déjà a la réalisation d'un rêve, et je le voulais très spécial. Le séjour à été court, moins d'une semaine, mais très intense, et c'est à ce moment que j'ai vu en quoi consistait le programme international de EPCOT, l'un des parcs à thèmes de Disneyworld. C'est aussi après cette magnifique escapade que je me suis fixé comme objectif de travailler un jour pour Disney, à Disneyland Paris d'abord, pour avoir la chance de faire partie de cette grande famille, et ensuite en Floride. La route à été longue et c'est en 2003 que j'ai intégré la Compagnie. Presque deux années dans le premier, entre un excellent poste à Disney Express, le service de bagagerie de la gare, et quatre mois dans les bureaux, au département Mécénat, le plus beau de l'entreprise (organisation d'actions bénévoles pour l'enfance, visites d'hôpitaux...), en charge du Programme Voeux d'Enfants qui consistait en l'organisation des séjours pour les enfants atteints de maladies graves. Il faut être depuis un an dans la société avant de pouvoir postuler pour un "détachement" pour la Floride, c'est donc ce que j'ai fait. Même si je me plaisais a Paris, j'en voulais plus évidemment, pour connaître une expérience professionnelle à l'étranger (j'avais déjà vécu à Londres six mois mais ce n'était pas assez...), qui plus est aux Etats-Unis, qui plus est au sein de la plus grande destination touristique du monde, et réaliser mon rêve !! Disney propose tout cela et mon rêve pouvait devenir réalité !

Comment s'est passé ton entretien ?

J'avais bien préparé cet entretien. Je me doutais des questions qu'ils poseraient puisque notre titre principal est d'être ambassadeur de notre pays et de sa culture aux Etas-Unis, représentant de notre ville. C'est une responsabilité. Nous sommes tous ambassadeurs dès lors que l'on se rend à l'étranger, mais il s'agissait là d'une fonction officielle. Il fallait donc être capable de parler en quelques mots de soi bien sûr, de son parcours et de sa région afin de donner envie aux visiteurs américains de venir la visiter. Je m'étais donc fait un dossier avec les caractéristiques essentielles de la région marseillaise d'où je suis originaire, et il y a beaucoup à dire... Des recruteurs américains viennent donc à Paris, à l'époque deux fois par an me semble-t-il, pour interviewer les postulants. L'entretien a été assez court dans mes souvenirs, le recruteur très sympa, ses questions effectivement axées sur ma connaissance et ma façon de présenter ma région en Anglais, et, malgré mon stress, tout s'est bien passé. Il nous est aussi demandé lors de l'entretien si on peut partager facilement un logement avec une ou plusieurs personnes de nationalité différente. Le but du programme est avant tout l'échange culturel. On nous demande de choisir également entre les trois divisions proposées que sont l'Attraction, le Merchandise et la Restauration. Le Merchandise m'a toujours paru la meilleure solution. La réponse a donc été difficile à attendre, longue à arriver mais elle a été positive. Je pouvais enfin commencer à préparer mon année de rêve en Floride !! Dans l'attente de cette réponse un autre grand projet est né avec deux amis, partir un an en Australie, et le recruteur, que j'ai revu à Paris quelques mois plus tard lors d'une autre session de recrutement, m'a laissé partir en me garantissant le maintien du poste pour l'année suivante. C'est en ce sens que je me souviens très bien de mon recruteur puisque je suis resté en contact avec lui tout au long de cette année intermediaire. A mon retour, il a tenu parole et deux mois après l'Australie, je débarquais en Floride.

Walt Disney World

Comment s'est passé ton arrivée sur place ?

Parti seul de Marseille, c'est à l'aéroport de Paris que je fais la connaissance de deux autres participants, Elodie et Tcheng, grâce à l'autocollant du programme sur leur sac. Les liens se nouent rapidement durant le vol pour Miami et Orlando. Un bus nous attendait à l'aéroport pour nous mener directement à la résidence. La communauté française nous y attendait également et nous réservait un accueil chaleureux avec un barbecue, malgré l'heure tardive. Courte nuit dans mon nouvel appartement, tout équipé et superbe, avant d'attaquer le show en matinée. C'est avec grand plaisir que je retrouve mon recruteur, Jeff, pour la présentation des nouveaux participants, du programme, des lieux (la résidence est superbe également, piscine, salle de musculation, terrains de tennis, salle Internet), de l'équipe, des papiers à signer, la Sécurité sociale... Chaque nouvelle session amène son lot de nouveaux représentants, tous là pour au minimum une année. Durant ces premières journées de "formation", nous faisons connaissance avec ces personnes que nous reverrons souvent tout au long de cette année. Nous découvrons aussi l'immensité des lieux et de Disney World. Il faut au minimum 20 minutes pour rejoindre en bus (service gratuit) les parcs à thème...

Cette première soirée fut un excellent moyen de connaître les participants avant même mon premier passage au pavillon. L'intégration n'en a été que plus facile et l'ambiance au sein du pavillon est très bonne. Je retrouve donc cette jeune et joyeuse équipe quelques jours plus tard avec la prise de poste dans les boutiques du pavillon français représentant au mieux la culture de notre pays. Une boutique Guerlain, cosmétiques et produits de beauté, "Plume et Palette", une boutique de parfums, un bar, pour déguster vins et champagne, et pour lequel on reçoit une formation, "Provence" pour les produits typiques et colorés de ma région, et "les Halles" pour des souvenirs plus classiques et axés Paris. Nous sommes suivis pendant les quatre premiers jours par un "traîner", un cast-member plus ancien choisi par le management pour expliquer le travail aux nouveaux. Le mien s'appelle Sébastien et je suis dès le début sur les bons rails grâce à lui. Dix jours supplémentaires pour bien me familiariser et je suis vendeur à part entière !!

En quoi consistait ton travail ?

Le travail consistait avant tout à porter un costume "Belle Epoque", superbe, et à tenir une caisse, bien entendu. Et ce n'est franchement pas évident au début quand on a jamais été vendeur, qui plus est avec une monnaie dont on n'est pas encore familier. Il faut une certaine période d'adaptation qui varie suivant les personnes et nous avons un badge à disposition pour informer les visiteurs de notre statut. Les standards Disney veulent aussi que l'on prenne soin du client et qu'on entretienne la discussion pendant la transaction. Un vrai plaisir avec le touriste américain, pratiquement toujours très agréable, et pour qui venir à Disney World est une fête. Le bar est l'endroit propice pour entretenir ces discussions, avec une grande carte de France sur le comptoir. Là intervient notre deuxième fonction car, en plus d'être vendeur ou barman, nous sommes aussi représentant de notre pays. Les Américains adorent parler de leur voyage en France. Un nom revient souvent dans leurs récits, Giverny, le village de Claude Monet !! Immanquable pour eux alors que c'est à peine si l'on sait en France ce qu'il représente.... Je me découvre ensuite un intérêt pour les parfums dans la magnifique boutique qui leur est dédiés, à apprendre les composants afin de mieux conseiller le client. Moins d'attrait pour les cosmétiques cependant, des vendeuses américaines sont là pour conseiller au mieux les clients. Je suis également devenu traîner au bout de six mois. Une belle preuve de confiance et de reconnaissance du management, une certaine responsabilité aussi. Cinq ou six nouvelles recrues seront ainsi formées par mes soins. Concernant les deux autres divisions, Attraction consiste en la présentation d'un très beau film de 20 minutes sur la France, "Impressions de France" et sur l'animation d'un atelier pour enfants. La division Food s'occupe de la bonne tenue de deux restaurants réputés, "Chefs de France" et le "Bistrot", et d'une boulangerie pour faire profiter les Américains de notre immanquable baguette, de nos croissants et nos sandwiches au fromage...

Que conseilles-tu à quelqu'un qui s'apprête à vivre la même expérience ?

Je ne suis pas très bon en conseil. Je voulais vivre cette expérience parce que c'était un rêve avant tout de travailler aux États-Unis, pour Disney et au sein de la plus grande destination touristique du monde. Ça a peut-être changé depuis mais à l'époque le château du Magic Kingdom était le monument le plus photographié au monde. Je suis donc parti par passion là où, pour quelques autres, c'est plus une expérience à l'étranger ou pour valider avec fun leurs études. J'ai donc vécu cette année différemment de beaucoup de personnes. Pas tous avaient aussi une expérience à Disneyland Paris, on peut postuler de l'extérieur. La division Food par exemple est différente aux deux autres sur plusieurs plans. Le recrutement se fait avec les restaurateurs, il faut avoir une bonne expérience car le travail et les horaires y sont très rigoureux. Le management n'est que Français et ils ne bénéficient pas à ce titre de la vraie expérience américaine telle que nous vivons en Attraction et Merchandise, management américain, briefings et contacts en Anglais. Ne pas trop s'inquiéter sur l'accent. Les Américains viennent rechercher l'authenticité et aimeront toujours entendre un bon accent français. Préparer un minimum l'entretien. Un conseil qu'on m'avait donné est de ne pas dire au'on voulait travailler à Disney World pour améliorer son Anglais, malgré que bien évidement passer 1 an en Floride aide énormément à travailler la langue anglaise. Et cette expérience est un excellent tremplin pour ceux qui désirent faire carrière dans le tourisme.

Être ouvert d'esprit, être prêt à faire des concessions avec les colocataires. Je suis mal placé à ce niveau puisque je n'avais qu'un seul colocataire, un Norvégien d'abord, un Italien ensuite.

Et la collocation s'est toujours bien passée. Mais les logements pouvaient aller jusqu'à huit colocataires, et nous sommes toujours deux par chambre. Mon conseil principal est de bien profiter de chaque instant. C'est une superbe expérience mais une année passe très vite et on se fait rapidement déborder. De planifier aussi à l'avance les voyages que vous aimeriez faire durant cette année pour ne pas avoir de regrêts par la suite. J'aurais aimé par exemple faire une Disney Cruise Line, les fameuses croisières dans les Caraïbes organisées par Disney et pour lesquelles nous avons de belles réductions, mais j'ai laissé passé l'occasion et je m'en mords encore les doigts aujourd'hui... Enfin je tenais à avoir une voiture en Floride. Le service de bus de Disney World est gratuit, excellent et régulier, de la résidence vers les parcs, ou entre les parcs. Mais la Floride est énorme et disposer d'une voiture garantit une grande liberté pour aller où on veut et à l'heure qu'on veut. J'ai donc fait le nécessaire assez rapidement et en ai acheté une assez funcky à un Français qui finissait son programme. Les voitures changent ainsi assez rapidement de main et pour pas grand chose. La location et l'essence sont également moins chères aux Etats-Unis. Mon conseil n'est donc pas spécialement d'acheter une voiture mais d'y penser avant d'attaquer l'année pour en profiter au maximum et sans regrêts.

Quelle différence notoire y a-t-il à travailler aux USA par rapport à la France ?

Nous avions un minimum d'heures garanties mais pas de maximum fixé. C'est ainsi que pendant les vacances on pouvait énormément travailler. Tout dépend de l'activité touristique, il y a des périodes pleines et d'autres plus creuses. Je me souviens surtout de la période des fêtes de fin d'année où le compteur à explosé. Affluence record et climat magnifique signifient beaucoup de travail. Le jour de l'an a été magique. Le champagne coulait à flot au bar et l'ambiance était excellente. Le salaire tournait autour des 7 dollars de l'heure. Nous pouvions aménager notre temps de travail comme nous le souhaitions, dans la mesure du possible. Les derniers mois, ma semaine était de 4 jours. Moins de réglementation qu'en France, pas de minimum d'heures entre deux shifts, ça tourne mieux comme ça, chacun se gère. Très peu d'intermédiaires entre managers, souvent absents car devant gérer deux autres pavillons (la France marche avec la Grande-Bretagne et le Canada) et cast-members, totale confiance et liberté d'action. Pas de pourboires pour le barman. Le cast-member Merchandise ne doit pas recevoir de tips et on doit le refuser s'il nous est offert. Et puis surtout, les fameux back 2 back, la possibilité, sur deux semaines, de joindre ses jours de congé afin de bénéficier de suffisamment de temps pour partir découvrir une ville ou une région américaine. C'est l'un des intérêts aussi de ce programme, découvrir les merveilles de l'Amérique.

As-tu pu voyager en dehors de la Floride ?

C'est tout l'intérêt du programme également, vivre un an en Floride nous offre la chance de pouvoir visiter les États-Unis à l'occasion de ces fameux back 2 back. Une fois tous les 2 mois à peu près on pouvait se permettre de prendre ce week-end prolongé pour partir à la découverte d'une ville ou d'une région. La Floride est un superbe endroit où il fait très bon toute l'année. Les plages sont proches, les parcs d'attractions très nombreux (Universal Studios, Sea World, Bush Gardens...), Disneyworld à lui seul est gigantesque (et l'accès nous est gratuit en tant que cast member), Cap Canaveral, Miami, les Everglades, Sarasota, Key West tout au bout d'une route impressionnante sur la mer, autant de noms qui font rêver et qui sont facilement accessibles de Orlando. Et en-dehors de la Floride, j'ai pu ainsi redécouvrir New-York, visiter Washington Dc, visiter le Tennessee (Memphis et Nashville), la pittoresque Savannha en Géorgie, Las Vegas et le Grand Canyon, et une petite semaine au Mexique dans la région du Yucatán (Cancun, Tchichen Itza, Merida). Vivre aux États-Unis permet aussi d'assister à des événements sportifs de grande qualité. Basket, foot US, baseball et surtout pour moi Hockey sur glace. La ville de Tampa, à une heure et demi en voiture, offre ainsi un large choix d'activités. Bref on ne s'ennuie jamais !!

Où en es-tu actuellement ?

Cette année en Floride a été pour moi très marquante puisqu'elle a vu la réalisation de mon rêve et que j'ai pu approffondir ma connaissance des USA en realisant des voyages magnifiques. Assister à des représentations sportives a aussi été un élément important de ce séjour et j'en garde d'excellents souvenirs. La force du programme est de proposer, en plus d'une superbe experience professionnelle, une très belle aventure humaine. Disney permet de creer des liens qui ne faiblissent pas avec le temps, les amis de l'époque sont encore là et j'ai gardé contact avec beaucoup d'autres. Mais j'ai surtout rencontré la perle rare dans le pavillon japonais. Les échanges culturels et internationaux permettent de faire de belles rencontres. Sept ans après, plusieurs allers-retours France-Japon, une nouvelle expérience de deux ans à Disneyland Paris, encore en Merchandise à Thunder Mesa et avec l'ouverture de la grande et belle World of Disney, le temps a fait son travail et nous nous sommes mariés l'année dernière. Je vis désormais au Japon, dans la région de Tokyo où je travaille encore dans le milieu de l'entertainment en faisant de la figuration dans des films, téléfilms ou opéras. Tokyo Disneyland est un parc magnifique et j'espère qu'il sera le 3ème parc Disney pour lequel je travaillerai un jour. Disney reste décidèment magique et mène a tout !! C'est aussi l'assurance d'un travail serieux tout en s'amusant dans une très bonne ambiance, et la garantie d'une très riche aventure humaine. Je sais que les superlatifs ont été nombreux, les lecteurs vont croire que j'ai été payé par Disney pour dire ça, mais c'est vraiment ce que je pense. Travailler en s'amusant, il n'y a rien de mieux, surtout si on ajoute en plus la possibilité de faire des actions bénévoles pour les enfants avec les "voluntears"(un parc entier à même été construit en Floride pour les enfants malades), on obtient une expérience toujours aussi enrichissante !

American Way Of Life remercie Michaël de nous avoir accordé cette interview.

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Peux-tu nous faire une petite présentation de EPCOT et de Disney World ?

Avec plaisir !! Le Magic Kingdom a été le premier parc de Disney World à ouvrir en Floride, en 1971. Après le succès phénoménal du parc ouvert aux abords de Los Angeles en 1955, Walt Disney et son équipe avaient pensé à plus grand. On passerait donc de DisneyLAND à Disney WORLD. Le lieu idéal pour ce projet pharaonique serait la Floride, pour son climat avant tout, quitte à devoir assécher les marécages au centre de l'Etat, à quelques km de Orlando, pour avoir une superficie comparable aujourd'hui à celle de Paris intra-muros. EPCOT était un projet conçu par Walt Disney lui-même qui voulait créer un prototype expérimental d'une communauté du futur (Experimental Prototype Community of Tomorrow). Il n'en verra malheureusement pas le résultat puisqu'il mourra avant même l'ouverture du Magic Kingdom, en 1966.

EPCOT est un parc d'attractions qui se veut avant tout éducatif, ce qui le différencie des autres parcs à thèmes de Disney, plus orientés vers le loisir. Il est composé de deux sections bien distinctes, Future World, présentation du Futur grâce à des attractions spectaculaires, et World Showcase, une exposition permanente de onze pavillons disposés autour d'un lac de 10 ha, tous aussi beaux les uns que les autres. Dans l'ordre de visite, nous avons le Mexique, la Norvege, la Chine, l'Allemagne, l'Italie, les Etats-Unis, le Japon, le Maroc, la France, la Grande-Bretagne et le Canada. Dans chaque pavillon sont représentés l'architecture typique, un monument représentatif, des restaurants et des boutiques, parfois une attraction, pour donner une image la meilleure possible de ce pays. Et pour assurer au mieux l'authenticité des lieux, les cast members sont tous des personnes originaires de ce pays. Aucune exception même si les Americains croient quelquefois avoir affaire à des comediens ayant réussi à reprendre l'accent du pays...

En 1989, un troisième parc ouvrit ses portes, les Disney-MGM studios consacré aux studios de cinémas, puis en 1999 le Disney Animal Kingdom, qui a pour thématique les animaux. Enfin le Resort comprend également deux parcs aquatiques gigantesques, une zone de divertissement, Downtown Disney, ainsi que 20 000 chambres répartis sur plus de 30 hôtels Disney.

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